Anouchka Delon est une femme heureuse et comblée, en amour comme dans sa vie professionnelle. La comédienne de théâtre, qui a tourné dans son premier film en 2018 avec Le Café de mes souvenirs, et qui reviendra cette année au cinéma pour un petit rôle dans le premier long métrage de Michel Denisot intitulé Toute ressemblance, est aussi connue pour son sourire pétillant, sa joie de vivre communicative. Mais l’année dernière, la fille chérie d’Alain Delon a vécu une expérience douloureuse, une épreuve qu’elle évoque pour la toute première fois dans un entretien accordé à Paris Match.

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Interviewée au côté de son chéri depuis huit ans, le comédien Julien Dereims (qu’elle avait rencontré au Cours Simon), l’actrice de 28 ans révèle avoir subi une fausse couche il y a plusieurs mois. “Avant l’été, je suis tombée enceinte et on était heureux. Mais j’ai perdu le bébé en août, à trois mois. La vie en a décidé ainsi, mais c’est injuste. (…) Même si j’aime penser que, désormais, nous avons un ange-gardien… L’année 2018 va nous laisser une cicatrice pour toute la vie“, glisse-t-elle. Ému, Julien Dereims parle de son côté d’une “douleur indescriptible“. Malgré cette peine immense, l’épreuve a renforcé les liens, déjà très solides, entre les tourtereaux.

Alain Delon, c’est le mec le plus simple du monde

Dans cet entretien, Anouchka Delon a également mentionné son père célèbre, révélant que le monstre sacré du cinéma français adorait son chéri. “Papa est pudique, mais il m’a toujours dit : ‘Julien est un mec exceptionnel et je croise les doigts pour que ça dure.’ Ils partagent beaucoup de valeurs“, poursuit-elle. Julien Dereims n’a que de bonnes choses à dire sur son beau-père, avec lequel il reconnaît de nombreuses “similitudes“. “Le Alain de la vraie vie, c’est le mec le plus simple du monde. Il n’aurait pas la gueule d’Alain Delon, c’est un mec lambda. Quand il met son costume, son smoking… là, il devient une star. Bizarrement, il y a des similitudes entre Alain et moi. Même si on n’ose pas aller l’un vers l’autre. C’est quelqu’un d’intelligent, d’instinctif. Un grand taiseux qui, dans sa vie, a été entre deux, un enfant de l’amour, comme il dit. Moi aussi j’ai l’impression de n’appartenir à aucune famille. Mes parents m’ont eu très tôt, trop tôt peut-être… Je suis bien avec ma mère, comme avec mon père. Mais un peu comme un électron libre. Moi aussi j’ai dû grandir vite. Je suis parti de chez mes parents à 18 ans, je me suis débrouillé tout seul…“, confie le comédien !

Retrouvez l’intégralité de l’interview d’Anouchka Delon et Julien Dereims dans le magazine Paris Match en kiosque le 10 janvier 2018