Contrainte de reconnaître la fin de son histoire d’amour, l’ex-première dame Valérie Trierweiler n’a pourtant pas dit son dernier mot.
Nombreux sont ceux, au parti socialiste, qui redoutent son courroux. « C’est une grenade dégoupillée », « elle va pouvoir écrire son histoire », « elle ne manquera pas de révéler ce que le Président pense vraiment des uns et des autres », pouvait-on entendre dans les couloirs de l’Assemblée, alors que la rupture se profilait.
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Pendant que François prenait de la distance, il y a quelques semaines, Valérie avait distillé quelques mots, à la Fondation Danielle Mitterrand. Ils avaient fait froid dans le dos de quelques proches de François Hollande: « Je ne me tairai plus », jurait-elle dans son discours de remise du prix de France Libertés. « Elle parlait des grands scandales humanitaires », décryptaient alors ses proches. De fait, pendant son hospitalisation, puis après, lors de son séjour à la Lanterne, la journaliste a donné consigne à son entourage de temporiser. Répondant elle-même à ses amis de la profession pour leur donner en pâture quelques informations sur son état d’esprit. Elle le disait… apaisé. « Elle n’exclut pas d’accompagner le chef de l’Etat aux Etats-Unis », glissaient les uns, « elle est prête à pardonner », affirmaient les autres. « C’est un vrai couple qui traverse des difficultés », assuraient les derniers.
Rien n’y a fait.
La risposte de Valérie Trierweiler: à lire dans Gala, mercredi en kiosques
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