Le Boeing 737 MAX 8 qui s’est écrasé dimanche 10 mars en Éthiopie n’avait que quatre mois. Il venait même d’être révisé en février. C’était la nouvelle génération de la gamme 737, type d’avions le plus vendu au monde. Commercialisé depuis à peine un an, il s’agit déjà du deuxième accident dramatique. En octobre 2018, un vol de la compagnie indonésienne Lion Air s’abîme en mer avec le même type d’appareils : 189 morts et une défaillance au niveau des commandes de vol.Manque de formation ?Un scénario qui pourrait être identique pour le vol éthiopien. D’après le relevé de l’appareil pendant son vol dimanche matin, il prend d’abord de l’altitude jusqu’à 8 150 mètres avant de chuter de 450 mètres en à peine 26 secondes. Puis il remonte une dernière fois jusqu’à 8 600 mètres avant de disparaître des radars. Certains experts mettent en avant un manque de formation sur ces appareils. La compagnie Ethiopian Airlines est la principale compagnie d’Afrique et la 40e mondiale. Elle ne figure sur aucune liste noire. L’aéroport d’Addis-Abeba a été récemment rénové. 10 millions de passagers le fréquentent annuellement.Le JT
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Grand Soir 3 du lundi 11 mars 2019 L’intégrale
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