L’année 2014 a été riche en émotions pour Agathe Lecaron. L’animatrice des Maternelles (France 5) a épousé François Pellissier, directeur des sports et directeur général chez TF1 Production, et donné naissance à son premier enfant, Gaspard. Deux ans plus tard, le couple a accueilli Félix, un deuxième petit garçon. Dans les colonnes du magazine Voici, l’animatrice de 44 ans se livre sur sa vie de maman et révèle pourquoi elle a attendu quelques années avant de fonder une famille.
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“Je n’avais pas rencontré le papa, et surtout pendant des années, je me suis dit bêtement que ce n’était pas le bon moment, j’avais peur pour ma carrière“, confie Agathe Lecaron. Et de poursuivre : “En réalité, j’aurais préféré devenir maman plus tôt. Quand on fait des enfants tard, ça appuie sur des éléments de ton histoire personnelle, chez moi ça a chamboulé beaucoup de choses, ça m’a fragilisée d’un côté, rendue plus forte de l’autre…“
Maman de deux petits garçons de 4 ans et 2 ans, elle confie avoir trouvé “un bel équilibre” et ne pas vouloir de troisième enfant. “Physiquement, je pense que je peux encore – j’ai eu les miens naturellement à plus de 40 ans ce qui est extrêmement rare –, mais je n’en veux pas d’autres“, déclare-t-elle. Et d’ajouter, amusée : “Déjà que je n’arrête pas de calculer l’âge que j’aurai quand ils passeront leur bac, ou l’âge qu’ils auront quand je vais mourir…“
À travers son livre, Maman, papa on joue à quoi ?! Agathe Lecaron souhaite donner des idées d’activités avec des enfants… et déculpabiliser les “mauvaises mères” qui, comme elle, “n’aiment pas jouer” avec leurs enfants, explique-t-elle avec humour. “Avec ce livre, je donne des pistes pour sortir les enfants de leurs écrans. Et en même temps, je pense que parfois il vaut mieux les laisser sur une tablette que de leur taper dessus, poursuit-elle. Il faut se détendre, hein… J’ai horreur des leçons de morale, alors moi, je n’en donne pas.” D’ailleurs, l’animatrice des Maternelles avoue avoir déjà crié sur ses enfants : “Comme tout le monde, je suis parfois crevée et il m’arrive de leur hurler dessus et de le regretter. Toutes les mères culpabilisent dès la première minute après l’accouchement, alors, moi, mon obsession, c’est de leur dire qu’on est toutes dans le même bateau et qu’on ne sera jamais parfaites.“
Une interview à retrouver en intégralité dans le magazine Voici, en kiosques ce vendredi 16 novembre 2018.
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